Daniel Bastié

QUINZE RENCONTRES ARTISTIQUES
Volume 1
Quinze personnalités artistiques, toutes différentes et uniques, et un regard sur leur manière de procéder. Qu’ils soient écrivains, compositeurs ou peintres. Il s’agit de rencontres effectuées pour la revue « Bruxelles Culture » et qui présentent succinctement les activités de chacun au rythme de questions-réponses conviviales et participatives.
Les quinze artistes sélectionnés apparaissent par ordre alphabétique.
Au menu de cet opus :
Jean-Louis Aerts, Frank Andriat, Ariane Bosquet, Jeannine Burny, Héléna Darcq, José Duchant, Sabiha El Youssfi, Maurice Frydman, Fabrice Gardin, Hugues Henry, Corinne Hoex, Joël Jabbour, Clément Martinery, Maria Palatine et Henri Seroka.

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QUINZE RENCONTRES ARTISTIQUES
Volume 2
Quinze personnalités artistiques, toutes différentes et uniques, et un regard sur leur manière de procéder. Qu’ils soient écrivains, compositeurs ou peintres. Il s’agit de rencontres effectuées pour la revue « Bruxelles Culture » et qui présentent succinctement les activités de chacun au rythme de questions-réponses conviviales et participatives.
Les quinze artistes sélectionnés apparaissent par ordre alphabétique.
Au menu de cet opus : Myriam Buscema,
Marc Brees, Christian Dalimier, Viviane Decuypere, Michel Dircken, Michael Loncin, Joske Maelbeek, Kate Milie, Silvana Minchella, Mythic, Cécile Parent, Huguette Van Dyck et, entre autres, Me’asa Weyo

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QUINZE RENCONTRES ARTISTIQUES
Volume 3
Quinze personnalités artistiques, toutes différentes et uniques, et un regard sur leur manière de procéder. Qu’ils soient écrivains, compositeurs ou peintres.
Il s’agit de rencontres effectuées pour la revue
« Bruxelles Culture » et qui présentent succinctement les activités de chacun au rythme de questions-réponses conviviales et participatives. Les quinze artistes sélectionnés apparaissent par ordre alphabétique.
Au menu de cet opus : Federico Ariu,
Marie-Céline Bondue, Hamsi Boubeker, Bénédicte Chabot, Jerry Delfosse,
Sophie Dubois, Nicolas Géal, Marcel Ghigny, Salvadore Gucciardo, Georges Lebouc,
Jean Lhassa, Sarah Lounici, Victor Ntacorigira, Nipanki Orei et Fernando Pampliega.

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EDGAR ALLAN POE
REVISITÉ PAR LE CINÉMA DE ROGER CORMAN
Essai
L’écrivain Edgar Allan Poe et le cinéaste Roger Corman n’auraient jamais dû se rencontrer.
Avec Vincent Price très souvent à l’affiche, cette série de longs métrages a engendré bien des peurs et des fascinations. Rehaussés de couleur et de décors baroques, ces films sont des classiques à voir ou à découvrir.
Daniel Bastié a longtemps été membre de l’AJPBE (Association des Journaliste Périodes Belges et Etrangers). Il est également enseignant. Il a publié de nombreux romans et recueils de nouvelles chez différents éditeurs.
Il est parti des films de Roger Corman, en empruntant des extraits de dialogues, pour établir cet essai

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GEORGES GARVARENTZ
ET LA MUSIQUE DE FILM
Essai
Il existe peu de littérature à propos du compositeur Georges Garvarentz, musicien hyper doué qui a mis son inspiration au service de la variété avant de se lancer dans la musique de film et devenir le témoin privilégié d’une époque, reflet des modes et des créateurs qui s’y sont produits avec talent.
« Les plaisirs démodés », « Retiens la nuit »,
« Daniela », « La plus belle pour aller danser » … voilà le sommet de l’iceberg !
A la recherche d’un compositeur, le réalisateur Denys de La Patellière s’est laissé convaincre par l’un de ses acteurs principaux (Charles Aznavour) d’engager Georges Garvarentz pour musicaliser
« Un taxi pour Tobrouk » (1960).
Comme le score serait orchestré et dirigé par
Paul Mauriat, qui pourrait éventuellement redresser l’une ou l’autre chose qui n’irait pas,
il a fini par capituler. Au pire, il ferait écrire en dernière minute une nouvelle partition par un musicien maison ou demanderait à ce dernier quelques raccords destinés à resserrer la bande originale. Pour l’artiste à peine âgé de trente ans, le tapis rouge a pris une allure de success story, encouragée par des louanges venues de toutes parts. Il s’est désormais aussi bien impliqué pour ses amis du show-business que pour les patrons des studios cinématographiques.Il s’agit ici du premier livre consacré au compositeur.
Daniel Bastié n’a pas souhaité tracer une bibliographie de Georges Garvarentz,
mais une nomenclature de son travail pour l’écran, sorte de catalogue chronologique qui analyse les films qui se sont succédé autant que les disques (45 et 33 tours) apparus dans les bacs des disquaires. En amont, l’objectif
est clair : ne pas oublier un compositeur majeur du septième art et un peu éclipsé par certains de ses collègues. Daniel Bastié a longtemps travaillé dans la presse écrite avant de se lancer dans la rédaction de fictions (Med comme Mehdi, Le viol, Rue Vogler, Prof story, Un bonheur fragile, etc.)
et d’essais sur le cinéma (Les mondes cannibales du cinéma italien, Jess Franco : l’homme aux deux cents films, Jean Rollin et ses vampires cinématographiques, Philippe Sarde : des notes pour l’écran, etc.), tout en se consacrant à l’enseignement.

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LES MONDES CANNIBALES DU CINÉMA ITALIEN D'UMBERTO LENZI À RUGGERO DEODATO
Essai
Le cannibale movie a été un genre cinématographique de niche du cinéma d’horreur et d’aventure. Les Italiens s’en sont montrés particulièrement friands au cours des années 70. Si le réalisateur Umberto Lenzi en demeure
le précurseur attesté avec « Il paese del sesso selvaggio », Ruggero Deodato est passé à la vitesse supérieure avec « Cannibal Holocaust », considéré comme un chef-d’œuvre maudit et toujours vilipendé par le esprits bien-pensants, offrant au public du milieu des seventies
un spectacle inconfortable et audacieux.
Par la suite et sans grand succès, quelques succédanés ont tenté de réveiller cette mode.
Daniel Bastié est parti des films originaux pour circonscrire les ultimes mondes cannibales du cinéma italien, comprendre leur influence et chercher à saisir ce qui a fait leur triomphe dans les salles obscures.
Gores, abjects et le plus souvent fauchés,
ils témoignent d’une époque durant laquelle
les cinémas accusaient une bonne fréquentation et se targuaient de bénéficier d’une large liberté, sans avoir à craindre la concurrence d’Internet. Initialement, cet ouvrage était prévu pour
la maison d’édition Grand Angle (Mariembourg), qui s’est montrée frileuse à l’idée de le publier.

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ON NE SORT PAS AVEC UN PROF !
Roman
Monsieur Dumont est assis à la même place, le front dressé vers le plafond et le regard vide.
Un peu de buée sur les vitres empêche de me concentrer sur une image nette. Il ne faut pas non plus que mon idée tourne à la déraison. Je veux bien être un peu dingue. Avec certaines réserves. En aucun cas, je ne souhaite devenir une pauvre fille capable de penser n’importe quoi pour donner un sens à sa vie, puis de passer à l’acte presque sans m’en rendre compte. Simplement pour suivre une obsession qui n’a forcément pas grand-chose de rationnel. Assez curieusement et à cause du froid, je sens ma motivation fléchir. Pour me rassurer, je ne peux pas m’empêcher de formuler : « Je ne suis pas folle ! L’amour n’a rien de fou ! J’ai dix-huit ans ou presque et je veux vivre ! » D’ailleurs, je ne fais aucun mal. Ni à moi ni à personne. Je serais presque fière d’avouer tous les efforts que je mets en œuvre. J’entends déjà les copines : « On ne sort pas avec un prof ! Cela ne se fait pas. Pense aux conséquences. » Puis, qu’irais-je raconter à un homme qui sait à peine que j’existe, qui a consulté mon dossier scolaire et qui se contente de lire mon nom et mon prénom sur les copies qu’il corrige dans
le confort douillet de son fauteuil et à l’instant
où il retranscrit les points dans le bulletin trimestriel. Pour lui, je reste une élève parmi toutes celles qu’il croise dans les couloirs, qui l’observe en classe et qui lève le doigt pour poser une question sur la matière du jour. Comment pourrait-il imaginer ? Simplement se douter ?
Daniel Bastié a longtemps travaillé dans la presse écrite avant de se lancer dans la rédaction de fictions (Med comme Mehdi, Le viol, Rue Vogler, Prof story, Un bonheur fragile, etc.) et d’essais sur le cinéma (Les mondes cannibales du cinéma italien, Jess Franco : l’homme aux deux cents films, Jean Rollin et ses vampires cinématographiques, Philippe Sarde : des notes pour l’écran, etc.), tout en se consacrant à l’enseignement. De son expérience, il tire des souvenirs qui émaillent ses récits, alliant fiction et anecdotes authentiques.
Avec « On ne sort pas avec un prof ! », il signe la chronique féroce d’une certaine jeunesse en proie à de valses hésitations, tout en remaniant le sujet éternel qu’est la passion amoureuse. S’éprendre d’un enseignant, soit ! Mais sans franchir le pas décisif, qui fait partie des tabous connus de tous. Fatalement, la transgression engendre la sanction. Alors, comment s’y prendre ? De quelle manière manœuvrer ?

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LA BELLE-MÉRE COMBUSTIBLE
RECUEIL DE NOUVELLES
« La belle-mère combustible » rassemble des textes brefs qui traitent de la nature humaine. Notre époque se dit libre en marchant scrupuleusement à côté des sentiers balisés par les générations précédentes. L’étau s’est resserré, les illusions se sont laminées et des prévisions bancales les ont remplacées.
La beauté du monde est toujours présente, même si nous la cherchons dans le lointain.
Ce recueil se veut un florilège qui parle d’amour, de sexualité et de relations avec les autres en faisant éclater le politiquement correct. Un zeste de mauvaise foi, un chouia de misanthropie, quelques gouttes d’humour acide et deux doigts de fantastique font de ces récits un apéritif à consommer sans modération.

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ILSA. LA LOUVE DES SS
ESSAI
Les sociologues ne le répèteront jamais assez : Ilsa est le reflet d’une époque et du relâchement des mœurs. Un temps où on pouvait diffuser tout et n’importe quoi sur les écrans. Bien plus qu’une histoire de camp de concentration, Don Edmonds a réalisé un film qui misait ses atouts sur les appas de l’actrice principale, sur sa poitrine opulente et la nudité des autres comédiennes, mixant l’ensemble de séquences de tortures gratinées, avec un mauvais goût revendiqué et un non-respect de la vérité historique. Ce grand-guignol avait tout pour faire parler de lui et, bien plus que les prévisions, a acquis une réputation en entrant dans le langage commun, affublant certaines femmes du surnom de l’héroïne de celui-ci, insistant sur leur caractère bien trempé et leur propension à ne jamais se laisser dominer par les hommes. De là à considérer Ilsa comme une féministe, voilà un pas sans doute difficile à franchir, puisque féminisme ne rime pas avec sadisme, fétichisme et autres joyeusetés exacerbées sur la toile, mais plutôt avec liberté et choix qui se placent en porte-à-faux des clichés qui incitent à croire que les mâles dominent le monde et que leurs filles, amantes et femmes se subordonnent à leurs ordres autant qu’à leurs désirs.

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Daniel Bastié enseigne à Bruxelles depuis de nombreuses années et côtoie des élèves issus de milieux différents. Parallèlement, il a exercé une activité dans le monde de la presse (Passe-Partout, Soundtrack, Grand Angle, Cinéscope, Les Fiches belges du Cinéma, Saisons, etc.)
et dirige depuis une dixième d’années le magazine « Bruxelles Culture ». Il a longtemps été membre de l’AJPBE (Association des Journalistes Périodiques Belges et Etrangers).